Vous en buvez tous les jours et vous ignorez qu’il est la cause principale du cancer du sein !
Le cancer
du sein, causé par le développement d’une tumeur maligne dans l’un ou les deux
seins, touche principalement les femmes, avec un risque accru chez celles de
plus de 50 ans. Selon les statistiques mondiales, un million de cas de ce
cancer sont diagnostiqués chaque année et 400.000 femmes en décèdent. Voici les
principaux facteurs qui augmentent le risque de cancer du sein.
Les
symptômes
Le cancer du sein, comme tous les cancers, nécessite
un dépistage précoce qui augmenterait considérablement les chances de guérison.
Pour cela, il faut être toujours attentif à son corps pour pouvoir déceler tout
changement ou toute anomalie qui pourrait indiquer la présence d’une tumeur.
Parmi les symptômes du cancer du sein :
- Sentir une ou plusieurs boules dans le sein
- Rougeurs ou peau du sein qui pèle
- Sein déformé
- Écoulements ou saignements inexpliqués du mamelon
- Un mamelon inversé
- La présence de ganglions au niveau des aisselles
L’observation d’un ou de plusieurs de ces
symptômes nécessite une consultation médicale qui permettrait de diagnostiquer
le développement éventuel de cellules cancéreuses et ainsi accélérer et
favoriser leur traitement.
Les facteurs de risque
Plusieurs éléments favorisent le développement
des cellules cancéreuses et augmentent le risque de cancer du sein. Parmi eux,
nous retrouvons :
- La génétique : si un membre de votre famille a été atteint du cancer du sein, le risque d’en avoir se trouve considérablement augmenté
- L’apparition des règles à un âge précoce
- Une ménopause tardive
- L’âge : le risque de cancer du sein est accru chez les femmes âgées (entre 50 et 69 ans)
- Absence de grossesse ou première grossesse tardive (après 35 ans)
- Une prise prolongée de contraceptifs oraux
- Antécédent cancéreux chez la femme (cancer des ovaires ou du col de l’utérus)
- Le surpoids
- Le tabagisme
- Une mauvaise alimentation
En effet, les aliments que vous consommez jouent un
rôle très important quant à la préservation ou l’altération de votre état de
santé. Selon une étude menée par le professeur Candyce Kroeke du centre Kaiser
Permanente en Californie, les femmes diagnostiquées du cancer du sein qui
consomment des produits laitiers entiers ont plus de chances d’en mourir,
comparées à celles qui consomment des produits laitiers allégés. Ceci est dû au
fait que les produits laitiers (surtout ceux des États-Unis et des pays
occidentaux) sont faits à base de lait tiré de vaches enceintes et contiennent
donc un niveau plus élevé de progestérone et d’estrogène. Cette dernière
favorise la croissance des cellules mammaires et des cellules cancéreuses
réceptives de cette hormone.
Toutefois, les produits laitiers allégés ou faibles en gras contiennent également ces hormones, mais en faible quantités. Ils représentent tout de même un risque.
Pour s’assurer que la consommation des produits laitiers a un quelconque impact sur les risques de récidive du cancer du sein et le taux de mortalité, une équipe de chercheurs a décidé d’étudier, sur une durée de 12 ans, l’évolution de l’état de santé d’un groupe de femmes qui consommaient les produits laitiers entiers suivants :
Toutefois, les produits laitiers allégés ou faibles en gras contiennent également ces hormones, mais en faible quantités. Ils représentent tout de même un risque.
Pour s’assurer que la consommation des produits laitiers a un quelconque impact sur les risques de récidive du cancer du sein et le taux de mortalité, une équipe de chercheurs a décidé d’étudier, sur une durée de 12 ans, l’évolution de l’état de santé d’un groupe de femmes qui consommaient les produits laitiers entiers suivants :
- La glace (au lait)
- Le flan
- Le fromage
- Le yaourt
- Le beurre
- Le lait entier
- Le lait évaporé (non sucré)
- La crème anglaise
À la fin de cette étude, les chercheurs ont pu déduire
que les femmes qui mangeaient un ou plusieurs produits laitiers entiers avaient
64% plus de risque de mourir, quelle que soit la cause, et 49% plus de risque
de succomber au cancer ;contrairement aux femmes qui en consommaient une plus
petite quantité ou qui mangeaient des produits laitiers faibles en matières
grasses. Cependant, le lien de cause à effet n’a pas été formellement établi.
Mais dans ce genre de situations critiques, il vaudrait mieux prévenir que
guérir.
D’ailleurs, si vous êtes diagnostiqué(e) d’un début de cancer du sein (ou pour prévenir la maladie), faites tout ce qui est en votre pourvoir pour réduire le risque de récidive de la maladie et augmenter vos chances d’en guérir complètement. Pour ce faire :
D’ailleurs, si vous êtes diagnostiqué(e) d’un début de cancer du sein (ou pour prévenir la maladie), faites tout ce qui est en votre pourvoir pour réduire le risque de récidive de la maladie et augmenter vos chances d’en guérir complètement. Pour ce faire :
- Éviter les aliments transformés et le sucre
- Arrêter votre consommation d’alcool
- Éviter la prise de poids excessive
- Pratiquer régulièrement des exercices physiques
- Arrêter de fumer
- Suivre scrupuleusement les prescriptions médicales
·
Un dernier
point très important : la consommation de produits laitiers préparés à base de
lait de vache est fortement déconseillée à cause de son effet néfaste sur la
santé. En effet, les vaches sont supplémentées en hormone de croissance pour
augmenter leur productivité de lait, et quand cette substance entre dans le
corps humain, elle peut engendrer des troubles hormonaux, le diabète, des
maladies cardiovasculaires et contribuerait également à la propagation des
cellules cancéreuses. Préférez donc le lait de chèvre.
santeplusmag
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